Mayday, the passenger who landed a plane (lien Youtube, documentaire en anglais, sous-titres en anglais). Alors que son ami pilote est victime d’une crise cardiaque en plein vol, John Wildey est contraint de faire son 1er atterrissage, de nuit, sans aucune expérience autre que maintenir l’avion en vol. Avec calme et humour il réussit, et s’inscrit ensuiteà des leçons de pilotage.
L’appel de détresse « mayday » viendrait de « venez m’aider ». Il aurait été inventé par un britannique, Frederick Stanley Mockford, qui officiait à la radio de l’aéroport de Croydon, à une époque où l’aéroport recevait beaucoup de vols en provenance du Bourget en France. L’appel doit être répété trois fois.
Sources : Ministère de la défense ; Patrick Robertson dans son livre Robertson’s Book of Firsts: Who Did What for the First Time, éditions Bloomsbury, 2011 ; Convention internationnale radiotélégraphique de Washington 1927 (fichier pdf, article 19 notamment)
Vidéo d’une pièce miniature cachée derrière une prise électrique.
« Je pardonne toujours à quelqu’un qui se met en colère parce qu’être de mauvaise humeur fait partie de la nature humaine. En général, je pardonne à quelqu’un qui me ment parce que la nature humaine est très faible, et très souvent, on n’est pas assez solide pour faire face aux difficultés et dire toute la vérité. Je pardonne également si quelqu’un fait courir un bruit mensonger ou un ragot à mon propos parce qu’il est très facile de céder à la tentation quand d’autres y incitent.
Même aux assassins je puis pardonner dans la mesure où leur condition sociale explique leur crime. Mais quand on se moque, on n’a pas d’excuse. En effet on ne peut ricaner au nez d’innocents sans avoir l’intention d’être insincère.
Laissez-moi vous donner ma définition de deux mots. Meurtrier : quelqu’un qui assassine de la chair humaine. Ricaneur : quelqu’un qui assassine l’âme et le cœur des autres.
L’âme et le cœur sont beaucoup plus précieux que la chair. C’est pourquoi, ricaner est le pire des crimes. »
Extrait du livre Le chrysanthème et le sabre, écrit par Ruth Benedict, citant Yoshio Markino.
Vidéo d’un balai… roulant.
Return of the Obra Dinn, disponible sur PlayStation 4, Nintendo Switch, macOS, Microsoft Windows, Xbox One, Mac OS, conçu par Lucas Pope, est un jeu d’enquête sur un bateau revenu vide au port dans le début des années 1800. Il s’agit d’essayer de comprendre ce qui est arrivé à l’équipage, en remontant le passé à partir des corps retrouvés sur le navire.
Le jeu est en noir et blanc, dans un style gravure, avec peu d’animations. Le joueur doit observer, écouter, déduire, tenter d’obtenir le maximum d’informations pour remplir le journal de bord. La fin diffère selon le nombre de cas résolus.
Des cotons tiges dansent sur une enceinte.
« Do not regret growing older. It’s a privilege denied to many. » (Coloriage de l’application Happy color)
J’aime beaucoup l’idée de chérir mon âge parce que j’ai la chance de l’atteindre.
Théorie quantique versus relativité, théorie des cordes, comment lier l’infiniment petit et l’infiniment grand avec des règles communes ? Cet épisode du podcast Exocet parvient à vulgariser des problématiques auxquelles je n’avais jamais rien compris.
[Exocet] Spéciale Théorie du Tout 1 #exocet
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Episodes précédents :
Aevole 