Comme tu suis avec passion chaque épisode de ma vie (QUOI ?! Non ?? Pfffff… Bah va lire ça alors : C’est pas toi – ça va passer), tu sais que je suis malade.
Toi, tu le sais. Tu l’as lu. Tu connais probablement quelqu’un qui est passé par là (ça touche une personne sur 200 donc y’a quand même du potentiel). Tu as peut-être vu à quel point ça peut rendre quelqu’un miséreux.
Ouais.
Mais pas moi.
Moi je veux tout faire comme d’habitude.
Avec un cœur qui refuse de passer la barre des 60.
Avec des petites étoiles devant les yeux paske je veux forcer quand même.
Avec un moral qui traîne dans les chaussettes.
Avec une envie de pioncer à peine sortie du lit même après 9h de sommeil.
Avec des crampes, des douleurs articulaires.
Avec deux gros pulls + chauffage d’appoint.
Et tous les soirs depuis l’annonce, je m’effondre dans les bras de mon mari quand, après lui avoir raconté que j’ai ENCORE échoué à faire tout ce que je voulais faire, il me dit « Tu es malade, Vaallos ! » (Nan il m’appelle pas Vaallos dans la vraie vie ^^)
Alors bon, hier, fait rarissime-exceptionnel-pierre blanchesque, j’ai pris mon téléphone pour demander de l’aide. Et qui c’est qu’on appelle (quand n’habite pas trop loin !) dans ces cas-là ? Hm ? ^^
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